Notre nouveau roman : « À la verticale de l’Enfer » est presque terminé…
Voilà une petite présentation de l’intrigue et quelques photos des quatre principaux personnages féminins et des lieux où se déroule cette étrange aventure en un lieu isolé du Monde où l’espace et le temps sont si proches du nôtre. Si différents aussi…
La pub de la société Arkhadium était on ne peut plus clair : « Rêvez, et nous ferons le reste ! »
Le message qui suivait précisait qu’un séjour d’une semaine sous l’égide d’Arkhadium permettait de découvrir en soi des potentialités inouïes tout en participant à une aventure humaine hors du commun. Pour cela, il n’était nullement nécessaire de parcourir la planète ou de voler dans l’espace. Un simple séjour en France en un lieu coupé du monde devait vous permettre d’aborder des continents psychiques ignorés, des archipels de sensations neuves et des plaisirs fous susceptibles de rendre jaloux Sardanapale ou Néron.
Au début du mois de juin 2015, huit courageux explorateurs optèrent donc pour une expérience de ce type intitulée « La victoire de l’hippocampe ». Ce terme fait naturellement référence à la structure de notre cerveau qui joue un rôle essentiel dans le processus de mémorisation et non au charmant animal marin en forme de cheval dressé.
Destination : un manoir isolé au cœur de l’Ardèche, dans le Haut-Vivarais. Un vaste parc planté d’arbres séculaires et cerclé de hauts murs clôt l’ensemble qui contient, aussi, un étrange pavillon de chasse et les ruines d’une abbaye du XIIIe siècle.
Les huit aventuriers se répartirent en plusieurs groupes.
Ils découvrirent trois étranges hôtes et visitèrent rapidement une vaste galerie souterraine : la Galerie des fantasmes, décorée de tableaux géants peint par l’ancien propriétaire des lieux : Balthazar Anguissoli. Mort au début du XXe siècle, cet excentrique avait vécu et fait fortune à Sumatra avant de s’éteindre en ce lieu magique et inquiétant à la fois.
Artiste, il avait reproduit très minutieusement des toiles de Mantegna, Turner ou Füssli.
Lorsque les tableaux commencèrent à les engloutir dès les premières nuits au sein d’étranges vortex de lumières crues, les huit aventuriers surent qu’ils ne ressortiraient pas indemnes de cette expérience.
Mais ce qu’ils ne savaient pas encore, c’est qu’ils se trouvaient tous en fait… à la verticale de l’Enfer !