Vote pour le Prix Rosny aîné 2024

Nos deux romans en course pour le Prix Rosny aîné 2024
 
Le premier tour du Prix Rosny aîné récompensant les meilleures œuvres de science-fiction francophones publiées en 2023 est lancé.
Le vote se fait directement en ligne via le site du prix Rosny aîné : https://www.noosfere.org/rosny/VoteRomans.asp
Deux de nos romans : Soliloquium in Splendor et Ereshkigal concourent. 
Pour voter, le principe est simple : vous cochez de une à cinq cases correspondant à votre choix. Au bas de la page, vous inscrivez votre nom, votre adresse mail, puis vous cliquez sur « voter« .
Attention : on ne vote qu’une fois.
Merci pour votre soutien…
 
Soliloquium in Splendor paru en Mars 2023 aux Éditions Rivière Blanche – couverture : Marije Berting
Ereshkigal paru en Mars 2023 aux Éditions Rivière Blanche – couverture : Lillian Liu

Interview pour Obsküre

Notre interview pour Obsküre dans le cadre de la parution du disque du groupe lyonnais Grande Loge qui s’appelle Unruh et qui s’inspire de l’un de nos deux derniers romans parus en Mars 2023 chez Rivière Blanche : Soliloquium in Splendor .

Lien vers l’interview : https://www.obskure.com/oksana-et-gil-interview-%C3%A0-propos-de-soliloquium-in-splendor-et-la-coop%C3%A9ration-avec-grande-loge-unruh-2024-01-12.html

Soliloquium in Splendor paru en Mars 2023.

Ce 12 janvier 2024 sort en édition physique, chez Cyclic Law, l’album Unruh de Grande Loge, dont Obsküre aima les Mantras. Unruh : un disque dont la vocation, singulière, a été de fixer une bande-son imaginaire au service de l’écriture du binôme d’écrivains Oksana & Gil : celle, en l’occurrence, couchée sur Soliloquium In Splendor, essai narratif lié intimement à la notion de vide quantique. Mais de quoi parle-t-on réellement ?

Pour Obsküre, le duo revient d’une seule voix sur le processus expérimenté avec les musiciens (interviewés par votre serviteur à la fin du livre d’Oksana & Gil, nous sommes partie prenante) et sur une période créative féconde.

Oksana et Gil lors d’un Salon du Livre près de Clermont-Ferrand (Les Aventuriales) en Septembre 2023.

Les volumes de travail commun s’accumulent et vous êtes, pourrait-on dire, un « vieux couple » en écriture. Quelles ont été, dans votre ressenti, les constantes et/ou spécificités du processus / de l’expérience d’écriture partagée sur Soliloquium In Splendor ?

Cela fait désormais quatorze ans que nous écrivons ensemble. Notre méthode de travail est bien rôdée : les émotions et l’humain pour Oksana, l’environnement matériel pour Gil. Cependant, l’intrigue de Soliloquium in Spendor a nécessité une adaptation particulière car elle se situe au sein du vide quantique, c’est-à-dire un lieu où l’espace et le temps ne sont pas du tout organisés selon les lois usuelles de la physique. Dans ce contexte, nous avons donc dû « hausser le réel d’un ton » pour reprendre la phrase de Bachelard. Liée à un monde paradoxal et fantasmagorique, cette configuration si singulière nous obligea à nous exhausser bien au-delà de nous-mêmes. Ce fut déroutant. Et passionnant.

Soliloquium in Splendor – couverture : Marije Berting

Qu’est-ce qui, un jour, fait germer l’idée d’exploiter narrativement ce mystérieux vide quantique où meurt et émerge la particule ? Votre background et vos lectures ont-ils suffi à votre représentation intellectuelle de ce « vide » ou avez-vous eu des échanges directs avec des physiciens à son sujet ?

Notre premier roman – Cathédrales de brume – ayant été préfacé par l’astrophysicien Jean-Pierre Luminet, nous avons souvent discuté avec lui. Très récemment, il nous a communiqué quelques informations très importantes pour l’un de nos prochains romans : Les thaumaturges du Vingintyllïum dont l’intrigue se situe après la mort thermique de notre univers. Nous avons donc acquis une certaine expérience dans les domaines liés à la cosmologie et à la gravitation quantique qui nous passionnent. Certaines des théories inhérentes à ces disciplines scientifiques propulsent l’esprit dans les sphères d’une mythologie et d’une cosmogonie définitivement débarrassées de toutes les contraintes, de toutes les idéologies et de tous les carcans. Explorer les abîmes du cosmos nous fascine depuis que nous écrivons ensemble. Par ailleurs, la représentation d’un vide quantique qui est la matrice d’une activité foisonnante où naissent et meurent sans cesse des particules fantômes éphémères symbolise un véritable nectar pour des romanciers œuvrant dans le domaine des littératures de l’imaginaire.

Vous êtes (a priori) des êtres auditifs. Lorsque vous écrivez ensemble, entendez-vous par le flot d’écriture suivre un climat sonore, une musique imaginaire que vous entendriez pour le récit ?

Absolument ! Pour nous, les sens ne peuvent être pris en compte de façon purement indépendante. L’interaction existe entre le son et la vue puisque Goethe affirma que l’architecture est une musique figée. Le musicien Iannis Xenakis précisa même que la musique est une architecture mobile. La musique n’est pas seulement en lien avec l’architecture, la sculpture ou la peinture. En effet, littérature et musique forment ensemble un bel attelage qui nous permet de fabuler en compagnie de ces deux fougueuses cavales qui nous emmènent au-delà du possible et de l’imaginable. Dans l’un de nos récents romans : Le festin de Tisiphone, nous mettions en évidence les effets féériques, et parfois dévastateurs, d’une synesthésie qui mélange les sens en permettant de voir la musique ou d’entendre les couleurs. En écrivant, nous sombrons parfois dans un océan musical qui vivifie notre esprit et fouette notre imagination. Ce fut naturellement le cas avec Soliloquium in Splendor et l’environnement très étrange au sein duquel évoluent nos huit héros.

Unruh du groupe Grande Loge paru le 12 Janvier 2024 chez Cyclic Law

Grande Loge a structuré Unruh, une grande pièce sonore à partir de ce qu’ils connaissaient de la trame / du fond du livre. Quelle méthodologie de travail, quelle mise en commun a pu s’organiser entre eux et vous pour aboutir à cette œuvre dédoublée ? Suiviez-vous l’avancement de Grande Loge périodiquement ou avez-vous tout découvert une fois le gros de l’enregistrement posé ?

Après avoir contacté les musiciens de Grande Loge et lorsqu’ils nous communiquèrent leur réel intérêt pour ce projet commun, nous leur avons fait parvenir un synopsis très détaillé avec toutes les péripéties constituant l’intrigue. Ils ont ensuite travaillé de leur côté. Plus tard, nous avons reçu trois extraits de cette œuvre qui est composée d’un seul morceau de 45 minutes.

Quelles sensations vous a procurée cette bande originale imaginaire de votre Soliloquium ? Dans quelle mesure a-t-elle changé votre perspective/votre feeling sur l’écriture que vous aviez accomplie en premier lieu ?

Ce fut une très belle surprise qui concrétisa une aventure vraiment passionnante. Les sonorités acoustiques et presque tribales de Grande Loge s’allient parfaitement avec les vocaux, les claviers aux envolées grandioses et un remarquable travail en studio. En écoutant Unruh, nous avons retrouvé les péripéties vertigineuses et les rencontres iconoclastes qui surprirent nos Argonautes du vide au sein d’un monde qui ne ressemble en rien au nôtre. C’est justement le grand intérêt d’une étroite collaboration entre musique et littérature. Celle-ci conduit à une véritable eurythmie sensuelle et spirituelle démontrant, une fois de plus, qu’un tout représente beaucoup plus que la somme de ses parties.

Konvent : les reines du Death Doom danois qui sont aussi les héroïnes de notre roman : Un cri dans l’abîme. Elles ont déjà sorti deux disques chez Napalm Records

L’expérience avec Grande Loge a-t-elle ouvert une option susceptible d’augmenter à titre ponctuel ou plus régulier votre processus commun ? Pensez-vous aujourd’hui renouveler l’expérience lettres & son pour de futurs travaux ?

Nous avions déjà participé à un projet commun avec Dawn & Dusk Entwined lors de la sortie de notre premier roman. Depuis, nous avons collaboré avec deux groupes de Metal : Sirenia et Konvent. Dans le premier cas, leur chanteuse : Emmanuelle Zoldan fut l’héroïne des Vortex d’Übelmanium dont elle réalisa par ailleurs la couverture. Dans le second cas, ce sont les musiciennes et la chanteuse de Konvent qui furent les héroïnes de Un cri dans l’abîme qui fut aussi publié aux États-Unis sous le titre Growling Into The Abyss – traduction Sheryl Curtis. Dans ce cas, le Death Doom hypnotique et puissant des quatre danoises (elles sont cinq maintenant) servit de trame à cette descente aux Enfers. Après cette expérience passionnante avec Grande Loge, nous envisageons éventuellement d’autres collaborations. C’est souvent une question de rencontre et de coup de cœur. On se sent en synergie avec d’autres artistes, ou pas.

Ecoutez-vous de la musique lorsque vous écrivez ? Si oui, quelles musiques  ont alimenté votre imaginaire  pour Soliloquium In Splendor, avant que Grande Loge prenne le relais illustratif avec Unruh ?

Nos goûts musicaux sont assez variés, rock, metal, dark ambient. Nous avons bien sûr écouté beaucoup de musiques différentes en écrivant Soliloquium in Splendor. Toutefois, cela n’a pas eu d’incidence pendant l’écriture d’un roman si particulier et qui se situe, simultanément, en-dehors de l’espace et en-dehors du temps dans leur définition habituelle.

Oksana et Gil en dédicace lors d’un Salon du Livre à Angers (ImaJn’ère) qui se déroula en Mai 2023.

La difficulté, l’échec : points de départ du travail qui nous mènera vers le meilleur (de nous-mêmes)… peut-être ! Quelle est votre « philosophie de la difficulté » ? L’abordez-vous toujours avec un fond de sérénité où peut-il y avoir encombrement par un stress ou une anxiété ?

La difficulté est une vraie passion pour nous. Nous n’apprécions guère les choses faciles. Sortir de sa zone de confort est indispensable afin de pouvoir mettre au monde une étoile dansante comme disait Nietzsche dans la première partie de Ainsi parlait Zarathoustra. En cherchant à s’immerger dans des concepts qui se positionnent toujours aux limites extrêmes de l’indicible, de l’incognoscible, de l’impossible ou de l’ineffable, nous cherchons avec délectation à métamorphoser le plomb en or. Cette quête presque alchimique nous motive et nous fait oublier les échecs. En 2014 Robert Hossein nous avait contactés car il souhaitait adapter la partie historique de l’un de nos romans, Tomyris et le labyrinthe de cristal, pour son nouveau projet : un grand spectacle à Bakou à l’occasion des premiers Jeux Européens. Nous l’avons rencontré à plusieurs reprises et les principales modalités du spectacle étaient déjà bien avancées. La première guerre du Dombass mit un terme à cet ambitieux projet car les spectacles de Robert Hossein étant coûteux, il devait pouvoir compter sur le soutien de plusieurs financiers. Les probables conséquences de la guerre dans cette région effarouchèrent les investisseurs. Cet échec ne nous découragea pas. Depuis, nous avons déjà publié dix autres livres. Stress et anxiété sont des mots que nous bannissons de notre vocabulaire et de nos vies.

Nous parlons beaucoup de travail en équipe aujourd’hui avec vous deux… Mais si votre partenariat repose sur une logique de répartition de travail/d’angles, avez-vous aussi des aspirations d’écriture solo stricto sensu pour les temps prochains ?

Pas pour l’instant. Cependant, nous avons déjà écrit en solo dans le cadre d’une anthologie qui s’appelle La ronde de Glorvd et qui est un roman à tiroirs sous la forme d’un « cadavre exquis » ou chacun des trente auteurs invités écrit pendant une heure et s’arrête aussitôt en laissant le soin aux autres de poursuivre le cheminement de l’intrigue. L’idée de ce roman à soixante mains venait de la volonté de notre éditeur de célébrer les 15 ans de Rivière Blanche en poursuivant et finissant un roman inachevé de Louis Thirion décédé en 2011. Notre participation à ce livre coécrit par plus de trente auteurs fut passionnante. Néanmoins, le travail à deux est si riche que nous avons déjà cinq nouveaux  romans déjà écrits à paraître entre 2024 et 2026.

Oksana avec Robert Hossein.

Le festin de Tisiphone : chronique dans Babelio

Couverture du Festin de Tisiphone

 

Une chronique dans Babelio de notre roman paru en 2021 : Le festin de Tisiphone :

Lien vers la chronique : https://www.babelio.com/livres/Oksana-Le-festin-de-Tisiphone/1328440/critiques/3650238

 

Imaginez un séjour dans un manoir isolé en Ardèche. Une société spécialisée dans l’événementiel vous propose de vous redécouvrir vous-même. La ficelle semble un peu grosse. Cependant, par paresse ou par curiosité, vous décidez de vous inscrire à cette expérience qui devra durer une semaine. À cet instant précis, vous ne pouvez pas savoir que votre lointain passé (un pan caché de l’histoire de vos ancêtres en fait) va vous conduire vers l’abîme.

Roman fantastique teinté d’érotisme et de nombreuses fantasmagories, le festin de Tisiphone entraîne très vite le lecteur vers des contrées ignorées. Redoutables. Effrayantes même. Tisiphone étant l’une des trois Érinyes dans la mythologie grecque et personnifiant la vengeance, on ne peut pas vraiment affirmer que nous n’étions pas prévenus. Toutefois, la réalité sera pire que nos cauchemars et de simples tableaux enfermés dans une crypte se révèleront être des lieux de tortures et de massacres.

Plusieurs personnages très intrigants, dont la fascinante DarkIsis, nous accompagnent tout au long de ce voyage immobile dans l’espace, mais qui explore le passé afin de déchirer l’avenir.

Le final se situe clairement dans le registre de la science-fiction la plus échevelée et laisse à imaginer une potentielle suite plus déroutante encore.

Avec ce roman qui commence comme un simple roman d’aventure avec quelques romances éparses, Oksana et Gil Prou nous entraîne rapidement en des lieux ignorés où la banalité du quotidien se fracasse vite sur des murailles d’horreurs accumulées. Ce récit pourrait uniquement être horrifique et sanglant, mais il ouvre en même temps d’innombrables portes vers des mondes nouveaux qui apportent profondeur et vigueur à des vies qui étaient trop étroitement normées jusqu’à cette arrivée lourde de sens dans un manoir construit par un excentrique artiste italien.

Avec ce roman fantastique, le dépaysement est total. Dans le sens le plus absolu du terme.

 

Oksana présentant Le festin de Tisiphone
La couverture complète

Couvertures de nos deux prochains romans

Nos deux prochains romans qui paraîtront le 1er Mars 2024

 

Voilà les couvertures de nos deux prochains romans qui paraîtront le 1er Mars 2024 aux Éditions Rivière Blanche.

Le premier : Les soleils noirs de Lysimakïa est un roman de Science-fiction qui prolonge l’intrigue de Tomyris et le labyrinthe de cristal publié en 2013. Ce roman avait séduit Robert Hossein qui nous avait contactés car il souhaitait adapter l’intrigue pour son prochain spectacle qui devait se dérouler à Bakou à l’occasion des premiers Jeux Européens. Le projet était bien avancé, mais le début de la guerre au Donbass en Avril 2014 a fait fuir les investisseurs et le projet ne put aboutir.

La couverture utilise une peinture de Monsu Desiderio avec l’aimable autorisation du Musée d’Art et d’Archéologie de Besançon.

Le second : Nox Irae est un roman fantastique et horrifique dont l’intrigue s’inspire de la plus sanglante tragédie du théâtre français du XVIe siècle : L’Orbecc-Oronte, une tragédie en cinq actes de Jean-Édouard Du Monin publiée en 1585 à Paris. On peut vraiment évoquer ici un drame shakespearien car il est possible que pour l’écriture de Titus Andronicus, sa première tragédie écrite sept ans plus tard en 1592, William Shakespeare se soit inspiré de cette épouvantable histoire de quintuple vengeance.

Couverture : Lillian Liu

 

Les soleils noirs de Lysimakïa – couverture : Monsu Desiderio
Nox Irae – couverture : Lillian Liu
Les soleils noirs de Lysimakïa
Nox Irae

Unruh : un disque s’inspirant de Soliloquium in Splendor

Pochette d’Unruh et couverture de Soliloquium in Splendor

Un livre : Soliloquium in Splendor : https://www.riviereblanche.com/blanche-2221-soliloquium-in-splendor.html  paru en Mars 2023 aux Éditions Rivière Blanche avec une préface de Jean-Michel Archaimbault et une postface d’Emmanuel Hennequin.

Et maintenant, confirmation de la sortie d’un disque du groupe Grande Loge : Unruh

https://www.cycliclaw.com/music/grande-loge-unruh-cd-/-lp-/-dl-240th-cycle

qui paraîtra le 12 Janvier 2024 chez Cyclic Law.

Info aussi sur Bandcamp : https://cycliclaw.bandcamp.com/album/unruh  

Une même intrigue et une même odyssée au sein du vide quantique qui s’expriment sous une forme littéraire et une forme musicale qui entrent ainsi en synergie.

Présentation dans la revue Obsküre :

https://www.obskure.com/actualites/grande-loge-unruh-sortie-de-la-bande-originale-du-livre-d-oksana-et-gil-chez-cyclic-law-2023-11-17.html

Présentation d’Unruh dans la revue Obsküre.

2024 : deux nouveaux romans et des salons

Nos romans à paraître le 1er Mars 2024 aux Éditions Rivière Blanche. Couvertures : Monsu Desiderio (avec l’autorisation du Musée d’Art et d’Archéologie de Besançon) et Lillian Liu

 

En 2024, nous publierons deux nouveaux romans : Les soleils noirs de Lysimakïa (science-fiction) et Nox Irae (Fantastique).

Ces deux romans paraîtront le 1er Mars 2024 aux Éditions Rivière Blanche.

À l’occasion de ces sorties, nous auront aussi l’occasion de participer à plusieurs Salons du Livre afin de pouvoir rencontrer nos lecteurs.

Quelques photos prises en 2023 à Angers (Festival ImaJn’ère) et à Ménétrol (Les Aventuriales).

Avec Laurent Whale qui a préfacé l’un de nos romans : Nyx et Thanatos.
Avant le salon : compléter et modifier les synopsis de nos deux prochains romans.
Peaufiner l’intrigue d’un récit qui se passera dans un univers parallèle, même après le dîner.

220 000 abonnés et 20 millions de vues par mois.

Oksana et Gil lors des Aventuriales en septembre 2023

 

Sur Facebook, nous avons un profil commun : Oksana Gil et une page : Oksana et Gil.

Cette page a dépassé récemment le cap symbolique des 222 222 abonnés (225 000 aujourd’hui) et est vue en moyenne 20 millions de fois par mois.

Ceci prouve que les photos que nous postons et qui célèbrent la beauté ou l’extravagance de la Nature séduisent un nombre grandissant d’internautes.

Comme l’humanité ressemble de plus en plus à l’asile psychiatrique d’une autre planète, nous allons donc continuer…

Merci à tous !

Oksana et Gil

Après une journée de dédicaces et de rencontres avec nos lecteurs, nous en profitons pour améliorer les synopsis de nos prochains romans.
Présentation d’une partie de nos romans lors des Aventuriales 2023. Au centre : Thomas Bauduret qui est romancier, traducteur et directeur de collection.

Nos romans à paraître en 2024, 2025 et 2026

Nos six romans à paraître en 2024 (à gauche), en 2025 (au centre) et en 2026 (à droite).

 

Nous publions désormais deux romans par an aux Éditions Rivière Blanche, l’un dans la Collection Blanche (ancienne collection Anticipation du Fleuve Noir) et l’autre dans la Collection Noire (l’ancienne collection Angoisse du Fleuve Noir).

La Collection Blanche est consacrée aux récits de Science-fiction alors que la Collection Noire se consacre essentiellement au Fantastique.

Voilà quelques informations concernant ces romans.

 

 

Les soleils noirs de Lysimakïa – couverture : Monsu Desiderio (avec l’aimable autorisation du Musée d’Art et d’Archéologie de Besançon).

 

Après avoir franchi le labyrinthe de cristal, Ozzymandra et ses compagnons arrivent à la surface de Lysimakïa. Ils découvrent une planète où quatre cités-États se querellent sans cesse. Difficile de survivre dans un monde où des hydres géantes et des griffons sont la clef de voûte de combats titanesques alors que les scribes-célestes calligraphient les nuages et que des peintres-démiurges architecturent le néant.

Le danger rôde. Apophis veut imposer sa loi tyrannique. Pour assurer son hégémonie, il est prêt à s’associer avec des créatures lucifériennes qui esclavageront les populations des différents royaumes. Les monarques belliqueux doivent désormais s’unir.

Mais la véritable issue est ailleurs. Très loin. Là où brillent Les soleils noirs de Lysimakïa.

 

Nox Irae – couverture : Lillian Liu

 

Vengeance !

Vengeance folle. Terrifiante. Absolue.

Vengeance qui se nourrit de l’adultère et de l’inceste.

Vengeance qui se traduit par le meurtre, le parricide, le massacre d’enfants innocents et le dépeçage de cadavres en guise d’offrande cannibale.

Une épopée sanglante cristallisée en une effroyable nuit vouée à la vengeance : Nox Irae.

 

Oaristys en Enfer – couverture : Kalinka Fox

 

Été 585, sous le règne de Childebert II.

Lorsque Vulfégonde et Amalasonthe se rencontrèrent, deux mondes s’aheurtèrent violemment. Mystique hallucinée, la première luttait contre des forces démoniaques qui tyrannisaient son corps et son esprit. Elle mourrait et revivait sans cesse. Courtisane à la cour d’Austrasie, la seconde épépinait sa jeunesse au rythme d’incessantes étreintes.

Elles s’observèrent. Se frôlèrent. Un lumineux silence scella leurs destinées.

Childebert II confia alors à Vulfégonde et Amalasonthe une mission en forme d’Odyssée où combattaient sans cesse Hécatonchires, Hippogriffes et Gorgones.

Flamboyante et féconde, cette épopée s’achèvera par une troublante Oaristys en Enfer.

 

Les Thaumaturges du Vigintyllïum – couverture : Marijke Groothuis

 

La dernière étoile avait cessé de briller depuis des milliards de siècles. Toutes les galaxies de notre univers s’étaient évaporées.

Le cosmos était sombre, glacé. Privé de vie. Même les protons avaient disparus. Les ténèbres et les neutrinos régnaient sans partage depuis la mort thermique de notre univers. Seuls quelques titanesques trous noirs constellaient encore le vide.

Soudain, au cœur de l’un de ces ogres gravitationnels, quelques silhouettes surgirent.

Les argonautes du multivers achevaient l’exploration d’univers baroques et fous. Des univers en archipel où l’espace est hyperbolique. Où l’Un et le multiple s’étreignent sans cesse au sein d’un obscur et lumineux silence.

Quel monde hallucinant et baroque prétendaient désormais reconstruire Les thaumaturges du Vigintyllïum ?

 

10⁸ K – couverture : Nikawuw

 

Notre univers contient des milliards de milliards de planètes. Elles tournent toutes autour de leur étoile au sein d’un vaste système stellaire.

Une seule est différente. Totalement différente.

Isξadelph ne se déplace pas à la périphérie plus ou moins lointaine d’un fanal cosmique. Elle orbite à l’intérieur de son étoile.

Cette planète se déplaçant dans un brasier stellaire azur est habitée depuis des millions d’années par trois civilisations. Les Aglaöh[∾]Φma vivent à l’extérieur. Les Hystrïgons et les Stymphalides se dissimulent au cœur de ce monde hallucinant et brûlant protégé par un puissant champ magnétique qui les isole des enfers qui grondent au-dessus d’eux.

Les trois civilisations arrivent enfin au terme d’une hallucinante guerre cosmique. Celle-ci se déroule au centre de leur étoile. Là où la température frôle 100 millions °C : 108 K !

 

L’épiphanie de la lumière – couverture : Igor Slovák

 

Décapité par un preneur d’otages en Amazonie, Phil Caldwell est à la fois mort et vivant. Son corps git dans la jungle, mais son cerveau est toujours actif. Sa psyché s’échappe désormais dans un monde immaculé qui ressemble à un sépulcral Enfer de Dante. Illuminé par un firmament extravagant, cet abîme est habité par les nombreuses facettes de sa personnalité qui se démultiplie sans cesse. Accompagné par une jeune femme, un tigre et un anomalocaris, il réussit enfin à quitter le gouffre de son âme.

Phil Caldwell découvre alors une fantasmagorie sidérale. Remplaçant étoiles et galaxies, des ellipses et structures rubanées gigantesques tissent des arborescences qui fascinent le regard et désorientent l’esprit.

Soudain, deux jeunes femmes, une guerrière viking et une princesse sassanide, surgissent près du quatuor. Hefrighmoss et Yazdändah furent elles aussi décapitées et renaissent à leur tour. Les rescapés d’une mort qui se refuse toujours à eux se situent à l’orée d’une fabuleuse odyssée qui les propulsera au sein de cet univers effrayant et magique où s’opposent d’irascibles démiurges.

Épopée en forme de gigantomachie, ce vortex de couleurs, d’émois et de sensualité, les émerveillera à la confluence du monde physique et de l’inframonde psychique.

Cosmogonie en devenir, le voyage sans retour s’achèvera par une ensorcelante épiphanie de la lumière.

Photos Aventuriales 23 et 24 Septembre 2023

Oksana et Gil sur le petit pont devant Les Aventuriales

Excellent salon des Aventuriales à Ménétrol au Nord de Clermont-Ferrand.

Deux journées très sympathiques à la rencontre d’un public de passionnés et de nombreux lecteurs qui connaissent bien nos romans.

L’organisation du salon et les bénévoles qui le rendent possible furent efficaces et très accueillants.

Un très bon souvenir.

Avec Thomas Bauduret (au centre) qui est éditeur, auteur et traducteur. Sur la table, une large série de nos romans disponibles aux Éditions Rivière Blanche.
Le soir, nous en avons profité pour retravailler les synopsis de nos deux romans à paraître en Mars 2025.
Profiter de la tiédeur du soleil avant de rejoindre nos lecteurs.
Détente avant de rencontrer nos lecteurs.
Les bananiers auvergnats…
Présentation de notre premier roman préfacé par l’astrophysicien Jean-Pierre Luminet
Le matin, manteau et blouson sont nécessaires.
En fin d’après-midi, la température a sensiblement augmentée. Heureusement !

Les Aventuriales le 23 et le 24 Septembre 2023

Nous participerons aux Aventuriales de Ménétrol le 23 et le 24 Septembre

 

Nous participerons aux Aventuriales de Ménétrol (au Nord de Clermont-Ferrand) le 23 et le 24 Septembre.

Une merveilleuse occasion pour des rencontres, des dédicaces et des instants de plaisirs partagés avec nos lecteurs et les amoureux des littératures de l’imaginaire.

 

Une partie de nos romans présentés lors d’un salon à Angers en Mai 2023.
Un salon c’est d’abord une rencontre avec des lecteurs.
Parfois, nous en profitons pour répondre à une interview.
Nos lecteurs sont notre meilleure publicité…
À bientôt !